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comment les 1o1 favorisent le bien-être au travail
Culture
6 mai '25

Retirer son masque au travail : l’impact des rencontres 1o1 sur le bien-être mental

Cette année, l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM) nous invite à retirer nos masques. J’ai envie de parler des rencontres 1o1, qui m’ont aidée, dès mes premières semaines chez Rum&Code, à enlever doucement ce masque qu’on porte quand on veut « bien paraître ».

Ma première rencontre 1o1 a eu lieu un mois après mon arrivée, avec Tommy. J’étais 100 % en mode performance et corporate, cahier de notes bien ouvert et deux crayons (au cas où l’un me lâche, on ne sait jamais). J’étais encore dans cette phase un peu flottante où on veut bien faire, mais où on se demande quand même si on est vraiment « à sa place ».

Ce que je ne savais pas encore, c’est que cette rencontre allait me montrer que j’étais entrée dans une entreprise pas comme les autres.

Tommy m’a demandé comment je me sentais. Comment allait mon intégration? Si j’avais ce qu’il me fallait pour bien travailler. Il ne cherchait pas une réponse “corporate”, il voulait vraiment savoir. J’ai été surprise de me sentir aussi vite en confiance. On a parlé de mes objectifs, de mes inquiétudes, de ce que j’aimais jusqu’ici. Il m’a proposé des pistes de solution face à certains enjeux, et il m’a encouragée à prendre ma place. C’était simple, humain. Et surtout, ça m’a fait du bien.


Les 1o1, ce ne sont pas des suivis de performance. Ce ne sont pas non plus des réunions formelles avec une to-do list à cocher.

Un 1o1, c’est une rencontre régulière entre un employé et un gestionnaire, généralement en tête-à-tête. L’objectif principal? Offrir un espace sécuritaire et confidentiel pour discuter de ce qui va bien… ou moins bien. C’est un moment centré sur l’humain.

Le format peut varier d’une entreprise à l’autre, mais dans sa forme la plus simple, le 1o1 permet à l’employé de :

  • parler de ses objectifs professionnels ou personnels,
  • exprimer ses préoccupations ou ses défis,
  • partager ses idées,
  • recevoir de l’écoute, du soutien, du feedback.

Ce type de rencontre a vu le jour dans les années 80, notamment popularisé par Andy Grove, ancien CEO d’Intel, dans Silicon Valley. Dans son livre High Output Management, il décrit les 1o1 comme l’outil de gestion le plus puissant qu’un leader puisse utiliser. Parce qu’ils favorisent la confiance, l’alignement, l’engagement… et, tout simplement, le bien-être.


Avant Rum&Code, je n’avais jamais connu ce genre de pratique. Aujourd’hui, je la considère comme un ingrédient essentiel du bien-être au travail. Trop souvent, la santé mentale en entreprise se résume à un mot-clé qu’on agite une fois l’an, ou à une campagne de sensibilisation bien intentionnée… mais vite oubliée.

Rum&Code cultive le bien-être avec de généreuses conditions de travail, mais aussi avec une attention sincère à l’humain. On prend soin de nos collègues, de nos clients, et de nous-mêmes. On croit profondément qu’une équipe heureuse et motivée, ce n’est jamais un hasard, c’est le fruit de gestes concrets, portés par l’entreprise, mais incarnés ensemble, chaque jour.

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